Rapport Du Comité No 24 Hesa 42-1 Chambre Des Communes Du Canada
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L'influence des joueurs-vedettes, qui ont une influence auprès des amateurs et des joueurs plus jeunes, est importante. Quand ces vedettes nient avoir eu une commotion, physiobalance.ca elles envoient un très mauvais message, dit-il. Le Consortium conjoint pancanadien pour les écoles en santé est une organization fédérale-provinciale-territoriales qui réunit les secteurs de la santé et de l’éducation de tout le Canada et qui vise à optimizer la santé et le bien-être des enfants et des jeunes dans le milieu scolaire.
Dans les deux cas, les chercheurs rapportent des difficultés de mémoire, de l’attention et des autres fonctions cognitives, www.physiobalance.ca y compris le raisonnement et la gestion de l’information. Ces résultats ne sont pas surprenants si l’on considère que les impacts qui provoquent des commotions cérébrales sont d’une intensité égale à ceux qui sont à l’origine de bon nombre d’accidents de la route. En effet, des athlètes peuvent subir des coups qui produisent dans leur boîte crânienne une accélération allant de 80 à 140 g, ce qui équivaut à l’accélération causée lorsqu’une voiture entre en collision avec un mur de briques à une vitesse de 60 à 80 km/h. Le DrChris Nowinski, le cofondateur du CTE Center de l’Université de Boston, qui comprend une banque de cerveaux, a présenté certains résultats de l’examen des cerveaux qui ont été légués au Centre par des donneurs ayant subi des commotions cérébrales au cours de leur vie. Il a expliqué que l’encéphalopathie traumatique chronique est une maladie neurodégénérative dont les symptômes sont semblables à ceux de la démence, mais qu’elle peut être diagnostiquée avec certitude seulement après le décès.
En conclusion, les entraîneurs, les athlètes et les dirigeants des fédérations sportives sont sans doute les principaux acteurs impliqués dans le milieu sportif. Il n’en demeure pas moins que chaque citoyen a un rôle à jouer dans la prévention des commotions cérébrales. En effet, ne devrait-on pas applaudir les jeux techniques alliant vitesse et agilité plutôt que les actes violent et les bagarres? Par ailleurs, rapporter les symptômes d’une commotion cérébrale ne devrait pas être perçu comme un signe de faiblesse et les athlètes, peu importe leur niveau de compétition, devraient se sentir à l’aise de prendre une pause pour récupérer de leur blessure. Est heureux d’annoncer le lancement de la vidéo de l’Initiative de sensibilisation aux commotions cérébrales destinées aux participants d’activités sportives communautaires .
Les joueurs, les entraîneurs et l’équipe médicale suivent à la lettre les lignes directrices de la Déclaration de consensus sur les commotions cérébrales dans le sport, qui est revue tous les deux ans ar un groupe international d’experts. L’Agence de la santé publique du Canada a également appuyé l’élaboration du manuel SCHOOLfirst par le Holland Bloorview Kids Rehabilitation Hospital et de l’application mobile de P.A.C.E. Concussion. Le manuel SCHOOLfirst s’adresse aux enseignants et vise à les aider à appuyer les élèves qui ont subi une commotion cérébrale ou qui se remettent de cette blessure. L’application mobile appelée Progressive Activation and Concussion Education fournit des directives étape par étape pour aider les jeunes, les parents et les entraîneurs à déterminer s’il y a bel et bien une commotion cérébrale et à assurer la prise en charge. L’Agence de la santé publique du Canada promeut l’utilisation des outils relatifs aux commotions cérébrales élaborés par Parachute et par d’autres intervenants.
En effet, en 2013, Hockey Canada a mis en œuvre une nouvelle règle interdisant les mises en échec dans la catégorie peewee et dans les catégories plus jeunes. En raison de ce changement, le risque de commotion cérébrale a diminué de 70 %, ce qui se traduit par environ commotions cérébrales de moins dans tout le Canada. En ce qui concerne le volleyball, la DreSchneider a expliqué que, selon les recherches, 15 % des commotions cérébrales surviennent pendant la période de réchauffement, quand les joueurs courent sous le filet pour suivre le ballon qu’ils viennent de frapper.
Dans les deux cas, les chercheurs rapportent des difficultés de mémoire, de l’attention et des autres fonctions cognitives, www.physiobalance.ca y compris le raisonnement et la gestion de l’information. Ces résultats ne sont pas surprenants si l’on considère que les impacts qui provoquent des commotions cérébrales sont d’une intensité égale à ceux qui sont à l’origine de bon nombre d’accidents de la route. En effet, des athlètes peuvent subir des coups qui produisent dans leur boîte crânienne une accélération allant de 80 à 140 g, ce qui équivaut à l’accélération causée lorsqu’une voiture entre en collision avec un mur de briques à une vitesse de 60 à 80 km/h. Le DrChris Nowinski, le cofondateur du CTE Center de l’Université de Boston, qui comprend une banque de cerveaux, a présenté certains résultats de l’examen des cerveaux qui ont été légués au Centre par des donneurs ayant subi des commotions cérébrales au cours de leur vie. Il a expliqué que l’encéphalopathie traumatique chronique est une maladie neurodégénérative dont les symptômes sont semblables à ceux de la démence, mais qu’elle peut être diagnostiquée avec certitude seulement après le décès.
En conclusion, les entraîneurs, les athlètes et les dirigeants des fédérations sportives sont sans doute les principaux acteurs impliqués dans le milieu sportif. Il n’en demeure pas moins que chaque citoyen a un rôle à jouer dans la prévention des commotions cérébrales. En effet, ne devrait-on pas applaudir les jeux techniques alliant vitesse et agilité plutôt que les actes violent et les bagarres? Par ailleurs, rapporter les symptômes d’une commotion cérébrale ne devrait pas être perçu comme un signe de faiblesse et les athlètes, peu importe leur niveau de compétition, devraient se sentir à l’aise de prendre une pause pour récupérer de leur blessure. Est heureux d’annoncer le lancement de la vidéo de l’Initiative de sensibilisation aux commotions cérébrales destinées aux participants d’activités sportives communautaires .
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En effet, en 2013, Hockey Canada a mis en œuvre une nouvelle règle interdisant les mises en échec dans la catégorie peewee et dans les catégories plus jeunes. En raison de ce changement, le risque de commotion cérébrale a diminué de 70 %, ce qui se traduit par environ commotions cérébrales de moins dans tout le Canada. En ce qui concerne le volleyball, la DreSchneider a expliqué que, selon les recherches, 15 % des commotions cérébrales surviennent pendant la période de réchauffement, quand les joueurs courent sous le filet pour suivre le ballon qu’ils viennent de frapper.
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